Je viens de rédiger mon dernier article car je pars en vacances demain matin. Je vous retrouve donc avec un très grand plaisir d'ici quelques jours. Bonnes vacances à vous si vous partez aussi !

Format: CD

Titre: Iron Maiden

Année : 1991

Pays: Japon

Petit a petit je complète les pages titres, comme avec ce tirage CD d'Iron Maiden datant de 1991. A cet époque le CD n'était pas encore illustré avec un visuel. L'obi indique que ce tirage est une série spéciale Pastmasters 2. Il n'y a pas que notre groupe vénéré qui a fait l'objet de cette réédition, puisque les Japonais sont habitués à ce type de série commémorative. La dernière est la Forever young, en 2014.

Format: Cassette

Titre: A real live one

Année : 1993

Pays: Canada

Je viens juste de mettre à jour la page titre et de modifier l'argus. Cette cassette est devenue ARLOCAN2.

Il s'agit d'un tirage Canadien de 1993, avec cassette noire. Vous avez peut être remarqué que c'est la seconde cassette noire existant pour ce tirage. En effet la première que je possède avait les caches roues ronds. Là ils sont carrés.

Elle a une particularité que j'ai remarqué sur les tirages Nord Américains à partir de 1986: La jaquette à un biseau entre la tranche et le pli de gauche. Ce pli est aussi environ un millimètre plus court en hauteur que le reste de la jaquette.

Format: Cassette

Titre: The number of the beast

Année : 1982

Pays: Canada

Nouveau tirage Canadien pour le même titre. Cette fois-ci s'est un premier tirage par EMI Harvest Capitol. 

La jaquette est en carton, comme pour les premier tirages Français de certains albums. A noter que ce tirage existe aussi avec la mention SDR figurant en clair sur fond jaune, en bas de la face avant. Cette technologie, datant de 1982, a été inventée par Capitol et progressivement appliquée sur les tirages Nord Américains et Européens. Sur ces derniers SDR est devenu XDR.

Dernier vinyl acheté sur une brocante, The game de Queen à la particularité d'être sorti presque en même temps que le premier album d'Iron Maiden ! Pourtant la visuel et le contenu se font paraître plus récent et moderne que le premier essai de notre groupe préféré.

Il s'agit d'un tirage Français, avec label EMI. Donc probablement un tirage initial.

Format: Cassette

Titre: The number of the beast

Année : 1983

Pays: Canada

Retrouvez tous les détails de cette cassette sur la page titre, référence TNBCAN4.

C'est un tirage Canadien que j'estime datant de 1983, à cause de la présence d'un code barre, les premiers tirages (comme le TNBCAN1) n'en possédant pas. Mais actuellement les produits US et Canadien sont ceux qui me posent le plus de problèmes pour la datation. Donc cette date n'est vraiment qu'indicative. De même on peut noter la disparition du logo Harvest, présent sur les premières cassettes.

La cassette est classique, noire avec des caches roues ronds.

Probablement un tirage initial Français pour ce A day at the races, par Pathe Marconi EMI. A noter que nous sommes en 1977 et que l'éditeur sort cet album avec un label picture sur une face et un label vert sur l'autre, ce qui n'est pas forcément courant.

Format: Cassette

Titre: Edward the great

Année : 2002

Pays: Corée du sud

Nous avons observé précédement que la production de cassette en Corée du sud a commencé a se tarir à partir de 2000. Avec ce tirage de Edward the great, ce format tire sa révérence dans ce pays en 2002.

Nous avons vu aussi que le distributeur historique d'EMI, Kemongsa, disparait également à partir de Brave new world. C'est donc aussi LKC Music qui distribue cet ultime cassette.

LKC Music existe toujours mais les informations sur cette société sont parcellaires. Tout juste peut t-on dire que ce sont les initiales de Lee Kwan Chol, qui en est le directeur et probablement le fondateur.

Sur le produit l est intéressant de noter que cette cassette est la seule, à ma connaissance, a posséder un dessin ou un signe sur le label, à savoir un serpent.

Réédition de 1978, avec label EMI.

Queen a une place à part dans mon cœur. Comme beaucoup j'ai découvert ce groupe en 1975, alors que mon grand frère écoutait Bohémian rhapsody. C'est devenue LA chanson emblématique de Queen, toujours diffusé au moins 10 fois par jour à la radio. J'ai immédiatement été subjugé par le mélange d'opéra, de guitare, de partie lente puis rapide. Et surtout cette voix...

Bien entendu cet album est légèrement plus ancien, et je ne l'ai écouté que plus tard, lorsque mon frère a acheté les deux premiers albums du groupe. On est sur un Queen première époque, que l'on retrouve bien dans le superbe "live at the rainbow 74" récemment sortie. Les prémisses du futur sont déjà là avec un titre comme "Seven seas of Rhye".

Format: Cassette

Titre: Brave new world

Année : 2000

Pays: Corée du sud

Les cassettes sud-coréennes sont assez facile a reconnaitre: cassette blanche, label de couleur ou blanc, et alphabet Hangul constitué  de Jamos.

Cet exemplaire de Brave new world a été édité en 2000 par EMI LKC Music. La cassette est blanche, avec le label blanc. Comme j'ai indiqué plus haut il peut aussi être jaune (A real live one), bleu avec des motifs (Best of the beast) ou noir (Virtual XI) et éventuellement bleu clair (Iron Maiden). La jaquette et la cassette ne comporte pas de Jamos. Ils sont visibles sur un sticker collé sur le boitier et sur l'insert en noir et blanc.

Cette cassette est particulière dans l'histoire discographique Sud-Coréenne: C'est la première réalisée sans Kemongsa, le distributeur habituel, et à priori le dernier album sous ce format dans ce pays. Il y aura bien Rock in Rio et Edward the great, mais pas de Dance of death, ni après.

Retrouvez ce tirage dans la page titre, référence BNWKOR1.

Je possédais plusieurs albums en vinyl de MSG, avant de les revendre pour acheter du Maiden. Mais lorsque je revois un album dans une brocante je ne résiste pas au plaisir de le racheter, surtout à 2€ !

Bonne nouvelle. Je viens de terminer de poster mon argus. Néanmoins cela ne veut pas dire qu'il est fini. J'ai encore de nombreuses corrections et surtout je vais tenter d'aligner les prix en fonction des tirages. Ainsi pour un même tirage d'un même pays il ne devrait pas y avoir trop de différence.  Ce qui doit jouer c'est le format (vinyl, cassette, double, simple) et les particularités, (promo, bonus). Prenons par exemple les tirages vinyl replica US: Pour moi ils doivent tous (les simples) être au même prix. C'est donc cela que je vais réaliser maintenant, aligner les prix pour plus de justesse.

Je me suis aussi permis une petite fantaisie: j'ai rajouté les futurs tirages de The book of souls...

Format: Cassette

Titre: Killers

Année : 1981

Pays: France

Encore une cassette Française de Killers ! Eh oui, car les variantes sont multiples. Vous avez reconnu le tirage initial de 1981, par Pathé Marconi EMI (Pour rappel, cette appellation date de 1972). La jaquette est en papier carton, et au verso il y a la mention "Imprimerie Pathé Marconi EMI". Vous pouvez en trouver avec la mention "Imp St Roch Paris".

C'est la cassette qui, sur ce tirage, fait la différence avec les trois autres que j'ai déjà, qui ont été imprimées par Pathé Marconi EMI (la mention peut aussi se trouver à gauche ou à droite). En effet si tous les caches roues sont ronds, et qu'il y a toujours une graduation chiffrée, c'est sa forme et sa position qui distingue les tirages. Ici il est en bas.

Si vous voulez en apprendre plus sur ces variantes, rendez-vous sur la page du titre, il y en a quatre nommées KILFRA1 à KILFRA4.

Retour de brocante (mais celle de la semaine dernière): High voltage, un classique. C'est un tirage Français, en très bon état puisque dans son plastique d'origine (mais ouvert).

Format: Cassette

Titre: Iron Maiden

Année : 1990

Pays: France

Débutons une petite série de cassettes avec ce tirage Français d'Iron Maiden.

Du premier coup d'oeil on peut voir que ce tirage est l'un des derniers car réalisé par EMI France. Je l'estime datant de 1990. Outre le logo EMI France, on constate la présence d'un logo XDR et de caches roues carrés. A noter aussi le logo EMI rond, qui aurait pu être un signe de datation si on ne le retrouvait pas aléatoirement un peu partout. En effet on aurait pu penser que ce logo rond (ancien) avait été abandonné au profit du logo EMI rectangulaire (nouveau). Hors ce tirage de 1990 indique le contraire.

C'est mon quatrième tirage quasi identique. Trois sont Français et le dernier est made in EEC. Deux possèdent une jaquette imprimée recto-verso et sur deux elle n'a été imprimée que sur le recto. C'est le cas pour l'exemplaire montré. Mais celui-ci a les caches roues carrés tandis que le second a les caches roues ronds.

Retrouvez tous les détails de ce tirage sur la page titre, référence IMFRA6.

Comme vous, l'annonce de la sortie du nouvel album me procure plusieurs sensations: joie, impatience, peur.

Rajout du 3 septembre 2015: Maintenant que l'album est sorti, voici en rouge mes commentaires vis à vis de ce que j'avais écris il y a plus de deux mois.

Rajout du 4 septembre 2015: Explication du contenu des chansons (paroles, articles de presse, etc).

Je ne suis ni journaliste ni critique, mais seulement un fan inconditionnel qui se pose des questions sur ce nouvel opus, le 16ème dans la carrière d'un groupe légendaire.

Je vais donc tenté de critiquer cet album avant sa sortie, le but étant de se faire plaisir en inventant, extrapolant, mais surtout en tentant de coller au plus près de la réalité !

The book of souls est donc la nouvelle création d'Iron Maiden. Annoncé sous forme d'un teaser visuel avec le magazine 99 du fan club fin 2014, le titre et le visuel n'ont finalement rien à voir avec ce teasing. Pas de Ninja à l'horizon. Comment interpréter ce revirement. Concernant le visuel, la direction artistique d'un album n'est pas chose aisée, et probablement que les discussions entre membres et manager ont fait évoluer la direction de l'album durant ses 6 derniers mois. L'autre critère a prendre en considération est la maladie de Bruce. Désolé d'en parler à plusieurs reprises, mais ce fait ne peut être négligé car nous avons tous eu un membre affecté par cette saloperie de cancer et nous savons tous que la vérité d'aujourd'hui n'est pas celle de demain. Le plus troublant est cette mention Uroton 51 qui figurait sur un panneau indicateur. Je pense que le groupe estimait sortir l'album avant l'été et commencer la tournée à l'automne. La santé de Bruce en a décidé autrement.

D'où peut venir ce titre, the book of souls ? Littéralement cela signifie le livre des âmes. Un titre qui va comme un gant au groupe, avec ce mélange de mysticisme et de morbide. Mais nous connaissons la culture des deux piliers que sont Bruce et Steve et, forcément, il y a un sens caché ou un concept album là dessous. Les références a ce titre sont nombreuses, reste a trouver la bonne ! Cinématographiquement la première qui me vient à l'esprit est Evil dead, et ce livre maléfique qui envoute les occupants d'une maison perdue dans la forêt. Ouais mais bof. Musicalement je ne vois pas le groupe piquer un concept à un autre. Reste la littérature. Si on cherche The book of souls sur internet on a 10 pages annonçant la sortie du nouvel album ! Quelques livres en Anglais, mais rien qui nous titille. Tentons le live des âmes.

Quasiment en premier on trouve une critique d'un livre portant ce nom, écrit par Glenn Cooper en 2011. Il s'agit de la suite d'un livre paru en 2010. Le résumé nous indique que cette suite axe son récit sur un volume (donc un livre) qui n'a jamais rejoint la zone 51. Euh, 51 comme Uroton 51 ? Intriguant tout cela. Je cite le résumé: "Encore une fois, l’auteur emploie la formule du thriller religieux mâtiné de scènes d’action, de «révélations» historiques et de considérations métaphysiques sur la prédestination". Cela ma parait bien pour écrire quelques chansons avec tout cela non ? Allez, je me lance: l'album est basé en partie sur ce livre...

Le visuel est particulièrement dérangeant. On l'aime ou on le déteste. Ce qui me rassure c'est que déjà il n'est pas moche. Le dessin est très précis, presque photoréaliste. Le contraste avec le fond noir est osé, mais c'est un bonne technique pour mettre en valeur le personnage. Personnellement j'adore. Mais nous ne sommes pas là pour parler de mes gouts. Donc Eddie, après avoir voyagé dans l'espace, se retrouve métamorphosé en... en quoi d'abord ? Pour ma part je pense qu'il s'agit d'un être ancestral, issu d'une tribu ayant vécu il y a des milliers d'années dans l'Océanie. Aujourd'hui on dirait que c'est un aborigène. Ce nom signifie quand même "le premier habitant de sa terre natale". Un symbole non ? Deux détails m'intriguent: Le bijou sur le front et le sang coulant sur le torse. Pour le bijou il peut s'agit d'une amulette, ou d'un signe tribal désignant, pourquoi pas, un shaman. Concernant le sang, cela indique que cet être, malgré sa bonne mine, ne veut pas forcément du bien à tout le monde.

Le contenu aussi intrigue. Car ce double album est le premier dans la discographie. En général cela intervient sur un live, ou sur un album concept de mi-carrière. Là aussi plusieurs hypothèses: le groupe avait tellement de matière qu'un double album s'est imposé. Le groupe ne sait plus composer que des chansons de 10 minutes. Le groupe sent sa fin venir et la maladie de Bruce renforce ce malaise.

La première idée n'est pas sogrenue. Nous avons a faire à 5 types (Nicko ne fait que cogner...) qui ont tous de l'ego et chacun veut sa place sur le nouvel album. On ne fâche personne et on contente tout le monde en plaçant toutes les chansons. La seconde n'est pas bête non plus. Iron Maiden est connu pour ses titres long, mais nous avait habitué à un titre long par album. Le dernier en général. Une sorte d'histoire dans l'album, un titre fleuve à tiroir avec breaks, refrains et reprise du public lors des concerts. The final frontier avait placé la barre un peu plus haut, avec six titres de plus de sept minutes. On franchi un nouveau step avec ce 16ème album ? Pourquoi pas, mais le 17ème ne sera t-il composé que d'une unique piste de 60 minutes alors ? Terminons avec la troisième hypothèse: une précipitation par peur du futur. C'est ma préférée. Tout autant terrible que cela puisse être, ce 16ème album est, si tout va mal, le dernier avec ce line-up, sans possibilité de retour comme en 2000. Le groupe le sait et préfère assurer un dernier album blindé de chansons plutôt qu'une demi-mesure. La maladie de Bruce, que j'espère définitivement endiguée, est comme un couperet sur l'avenir. Il suffit de lire les articles actuellement écrits au sujet d'un chanteur Français de variété pour s'en convaincre.

Bien que négatif ce constat ne remet pas en cause les qualités intrinsèques de ce futur album: titre intriguant et visuel de qualité. Mais venons en aux chansons.

Au nombre de 11 cela semble raisonnable et pourrait même tenir sur un seul CD. Mais avec le dernier titre culminant à plus de 18 minutes, c'est raté. Réalisons un titre par titre:

L'ouverture est assurée par "If Eternity Should Fail" écrite par Dickinson (8:28). C'est assez long pour un titre d'ouverture, mais "Satellite 15...the final frontier", durait 08:40. Je regrette ce choix car je préfère un titre court et rapide afin de lancer l'album, tel un "Aces high" ou, pourquoi pas, un instrumental comme "The ides of march". En référence nous n'avons pas grand chose. Seule une bande dessinée de 1965 comporte ce titre. Elle parle bien entendu d'éternité et de voyage à travers les dimensions. Mais par rapport au roman de Cooper, cela prend son sens car la notion d'échec et d'éternité est présente. Comme je n'ai pas encore les paroles je ne peux pas parler du contenu, mais seulement de la musique. Immédiatement je retire ce que j'ai dit: ce titre ouvre merveilleusement l'album ! Il y a longtemps que Maiden n'avait pas proposé un titre de cette qualité en ouverture. Le début est une longue déclamation de Bruce, avec un effet d'écho, puis le titre se met en place avec une facilité déconcertante. Bruce a dit qu'il avait écrit  ce titre pour son futur album solo, mais que Steve lui a demandé de le mettre de cet album. Bonne pioche. Jamais Maiden n'avait proposé ce son et ce style de mélodie. Une très grande réussite. On y parle de la création et de la quête de la vie éternelle.

"Speed Of Light", écrit par Smith et Dickinson (5:01). Moi si vous me parlez de cela immédiatement un nom me vient en tête: Joe Satriani et son titre figurant sur "Time machine" en 1993. C'est purement le nom d'une chanson speed, courte et racée. Là voila cette ouverture. Après on peut tout imaginer: la vitesse de la lumière, les voyages dans l'espace, etc. Mais aussi: comme le temps passe vite...(c'est déjà fini...). Vis à vis de Cooper, cette notion de vitesse et de déplacement est importante car le héros change d'époque en un clignement d’œil. On le connait déjà bien et tout le monde semble l'avoir déjà adopté. Rythme rapide, titre carré, du Maiden quoi. Je le préfère grandement à Eldorado. Hommage à quarante ans de jeux videos.

Pour ce "The Great Unknown", composé par Smith et Harris (6:37). Là je sèche un peu mais je vois bien un titre plus calme, mélancolique. Cela cadrerait bien avec un film muet en noir et blanc de 1913. On connait la passion de Steve pour le cinéma ancien, lui qui nous a pondu un "Murder in the rue morgue" (tiré d'un roman). Bien entendu, si on change d'époque comme de chemise, l'inconnue est de mise chez Cooper. Début très calme, basse et guitares, chant de Bruce. tout se met en place. Le rythme s'accélère ensuite mais sans vraiment décoller. On ne voit pas trop où Harris veut aller. Petite déception. Se titre sera vite oublié et ne sera probablement plus jamais joué...

La première chose qui vient à l'esprit à la vue du titre "The Red And The Black", signé par Harris (13:33) est le roman de Stendhal. Mais là, pas d'armée ni de clergé. Pas d'as de pique ou de coeur. Tout bêtement c'est le titre d'un livre qui pourrait se balader dans la zone 51 du roman de Cooper. Je vois cette fois-ci un titre épique identique à "When the wild wind blows". Intro à la guitare sèche, style Flamenco, puis accélération en terrain conquis. On pense à Look for the truth mais avec Bruce au chant. Pas désagréable. Choeur à l'ancienne. Très très long final musical sans parole qui sauve le titre du naufrage. Mais injouable en concert je pense.

Connaissant Adrian (pas personnellement !), When The River Runs Deep, écrit par lui et Harris (5:52) devrait secouer. J'imagine une petite pépite rythmique des familles. Pour le propos, la relation avec le roman de Cooper est plus difficile. Mais comme on y parle aussi de Edgar Cantwell, de Jean Calvin, de Nostradamus et de Shakespeare, le sens caché nous échappera probablement jusqu'aux interviews du groupe. Un titre rapide, assez rock, et que personnellement je trouve teinté de Seventh son dans son introduction. Pas désagréable, avec un son de guitare très puissant assez inédit pour le groupe. Très bons solos. Tous les instruments sont très détachés et identifiables. De ce point de vue c'est une réussite.

C'est le titre du disque. The Book Of Souls par Gers et Harris (10:27). Je pressens un "Fear of the dark" ou un "Dance of death" de 2015. Ma seule interrogation reste le pourquoi de l'absence de Dickinson sur ce morceau (a part le chant), puisque c'est lui qui semble le plus orienté ésotérisme. Intro à la guitare sèche qui fait penser à The talisman mais très vite le titre prend une autre orientation. Mais pas forcément la bonne. C'est long, pas varié, plat, bref chiant. Struture trop classique que l'on a déjà entendu mille fois, mais sans étincelle...

Nous en arrivons au second disque:

Là, j'attends un nouveau "The trooper". "Death Or Glory", co-signé Smith et Dickinson (5:13) semble tout désigné pour l'être. Pas besoin de chercher bien loin: le héros du roman doit mourir ou obtenir le gloire. Refrain simple, titre enlevé, mais là aussi pas d'étincelle. On a connu Smith plus inspiré. Effectivement le héros va mourir puisque cette chanson évoque la vie et la mort de Manfred Von Richthofen, le célèbre pilote Allemand de la première guerre mondiale (RockHard n°157 - sept 2015).

Ce "Shadows Of The Valley", par Gers et Harris (7:32) est bien intriguant.Pas trop de rapport avec le roman, un titre long, bref on ne sait pas trop quoi penser. Retour aux affaires même si l'intro parait convenu. On sent tout de suite des intentions. J'aime bien la structure, sans pour cela crier au génie. Mais c'est plus original que le précédent et rappelle The red and the black dans sa composition.

Avec "Tears Of A Clown" de Smith et Harris (4:59) on arrive au reproche évoqué dans les forums: Des ressemblances avec les albums solo de Bruce: Book, Tears, Clown et Sorrow. Pourtant ce titre n'a pas été écrit par lui. J'y vois les états d’âme (tient donc) du héros, alcoolique et qui aime les femmes. J'accroche dès le début. Voila ce que l'on attend de ce groupe: du renouveau et un très bon son. On pourra reprocher que cela ressemble a du Dickinson solo. Et alors ? A noter les superbes solos très atmosphériques. Un superbe titre. C'est un hommage à l'acteur Robin Williams, victime d'une dépression.

Que dire de ce "The Man Of Sorrows",  création du tandem Murray et Harris (6:28), sinon ce que j'ai écris ci dessus. C'est aussi une allégorie de la peine du Christ. Sur les diverses peintures anciennes, le christ est représenté avec du sang sur le torse... Et que dire de cette chanson, tout en émotion avec cette intro danteste et ce chant habité de Bruce. C'est lent, telle une balade, mais sans le coté mièvre de Coming home. Car avec Steve il y a des tiroirs et le bougre sait les utiliser. Un très beau titre. 

 "Empire Of The Clouds" par Dickinson (18:01). Le Gros morceau de cet album. Un titre épique, énorme, très long. Trop long ? Comment apprécier un titre de 18 mn ? Une écoute cela va, mais sur le long terme comment ce titre va exister ? Sur les forums certains parlent d'un titre évoquant les batailles aériennes de la seconde guerre mondiale. On connait l'attrait de Bruce pour l'aviation. Cela me plait aussi. Mais je préfère cette métaphore: Les nuages sont des livres, livres perdus dans un univers ésotérique où un livre s'est égaré: le livre des âmes... Très longue intro au piano, avec des cordes. Forcément même si on est prévenu cela fait drôle. Mais très vite le chant de Bruce rassure. Ensuite on aime ou on déteste ! Mais effectivement sur un album de Maiden ce titre n'est pas à sa place, même s'il est de qualité et que la longueur ne se fait pas sentir car la progression du rythme se fait crescendo et que quand la guitare arrive cela devient splendide. A pleurer même. Maiden tient là son titre long phare, à l'instar d'un pink floyd, d'un The who ou d'un Eagles, un titre pour l'éternité. Ce titre parle de la tragédie d'un dirigeable Anglais, le R101, qui s'est écrasé lors de son vol inaugural vers Amiens le 5 octobre 1930. A l'origine ce dirigeable devait assurer la liaison entre l'Angleterre et le Pakistan. On peu noter l'allusion au ciel (Clouds) et à l'hégémonie Anglaise à cette période (Empire) (RockHard n°157 - sept 2015).

Conclusion: Je sens un album extraordinaire, combinaison de titres courts et nerveux avec des chansons longues et mélancoliques (progressives ?). Mon hypothèse du concept album basé sur le livre de Cooper ne parait pas si bête. Mais le proche avenir confirmera ou pas ce pari. Le Eddie chasseur-gardien des âmes peur incarner cette philosophie.  Je termine par un extrait de la critique du livre (par Laurine, le 11 mars 2011): "Piper se rend en Angleterre pour enquêter auprès de la famille d’aristocrates à qui appartenait le volume sans se douter que les gardiens de la Zone 51 sont à ses trousses pour récupérer l’encombrant objet." Cela ne vous rappelle rien ?

Hormis l'ovni Empire of the clouds, vraiment à part, cet album est celui que l'on aime et que l'on déteste en même temps. Je l'aime car il contient de véritables pépites, avec un son extraordinaire. Mais je le déteste en même temps car il y a au moins trois titres de remplissage et que cela gâche le ressentit de la première écoute. Premier album studio double, oui mais pour quoi faire ? Un simple aurait facilement pu contenir les meilleurs titres, sans pouvoir accueillir il est vrai la dernière chanson. Il semble donc que les égos des deux leaders aient poussé pour intégrer leurs chansons, au détriment de la qualité final de ce nouvel album, que je trouve après une première écoute très bon, mais qui aurait pu être extraordinaire.

Format: CD

Titre: Virtual XI

Année : 2002

Pays: USA

D'ici demain je compte bien poster les scan des CD de Virtual XI sur la page titre. Vous y trouverez donc ceux de ce tirage Américain de 2002.

Je vous ai déjà présenté plusieurs exemplaires de cette collection, et donc vous connaissez bien maintenant les particularité de ces retirages. Je n'y reviens donc pas.

Profitez-en pour voir ou revoir également le dernier tirage US en date, édité le 21 avril 2015 par BMG Sanctuary INgrooves.

Ne me demandez pas de vous faire la discographie du groupe Trotyl, j'en serais bien incapable !

J'ai trouvé le 45 tours de ce groupe Bulgare dans une boutique spécialisée à Paris. Il comporte deux titres: Lunatic et Warrior. Il s'agit un métal old school pas très réussi, avec en plus une production très médiocre.

Si vous voulez vous faire vous même une idée sur les éventuelles qualités de ce groupe, allez sur you tube. Un fan inconditionnel (le seul je pense) y a posté deux videos sonores.

Format: CD

Titre: Flight 666

Année : 2009

Pays: Philippine

Une fois devenu PolyEast, EMI Philippine ne laisse pas pour autant tomber IronMaiden en ce qui concerne la diffusion des produits.

Tout d'abord revenons un peu en arrière. En effet en 2008, lorsque qu'EMI souhaite se désengager du sud est asiatique, cela ne se fait pas brutalement. EMI réalise en effet une collaboration sur un moyen terme avec la société Piper paper corporation. D'où la création de PolyEast. Cela signifie aussi que ca ne va pas durer.

En 2009 le groupe sort Flight 666 et la Philippine n'est pas oubliée. Ce double CD porte la référence commune  à presque tous les tirages. Normal puisque cela reste quand même du EMI sous licence PolyEast. Les CD portent la mention "Made in the Philippines". La matrice a été faite par FAS.

Mais hélas l'histoire s'arrête là. En effet EMI étant racheté en 2012 par Universal (qui met la marque en sommeil puisque ne pouvant utiliser le catalogue pour une position domininante. Il sera revendu à Warner) la marque PolyEast change encore de nom pour redevenir OctoArts ! La boucle est bouclée.

Voici en trois articles un bref historique de la distribution du groupe aux Philippines. D'une part le diffusion de cassettes  jusqu'en 1998 de la plupart des titres, puis la sortie de seulement deux CD en 2006 et 2009. A priori il n'existe pas d'autres CD "Made in the Philippines" (On verra si Warner reprend le flambeau).

Format: CD

Titre: A matter of life and death

Année : 2006

Pays: Philippine

On a vu précédemment comment OctoArts est devenu EMI Philippine.

Cela tombe bien car en 2006 EMI Philippine publiait ce tirage de A matter of life and death. La référence est différente de celle des tirages Europe, mais identique à ceux d'autres pays asiatiques, de l'Océanie, ou des Amériques. Et encore pas de tous les pays de ces continents. A noter que le code barre se trouve dans un rectangle jaune, ce qui n'est pas courant.

Le CD est bien une réalisation locale, et non pas un import EU. La matrix est EMI CD DDPI.

En 2008 EMI Philippine, sous l'effet d'une réorganisation, disparait pour prendre le nom de PolyEast Records.

A suivre...

Format: Cassette

Titre: Virtual XI

Année : 1988

Pays: Philippine

Voila le type de cassette piège. Elle vient de Malaisie ou des Philippines ?

Ce tirage de Virtual XI date de 1998 et ne vient pas d'Europe. De cela on en est presque certain. De loin elle ressemble à une Polonaise. Mais sur le label blanc la mention "Philippine copyright" donne une indication réelle de la provenance. D'ailleurs si vous avez vu mes autres cassettes venant des Philippines, avec un label blanc ou coloré,  il n'y a aucun doute. Donc fermez le banc.

Sinon la jaquette est en papier...quoi, mais que vient faire là cette mention "Printed in Malaysia" que je vois dans le cartouche du code barre ? Encore une inversion de cassette, je suis refais !

Pourtant en examinant le verso de la jaquette une autre mention me rassure: "Octoarts EMI - 1998 Philippine copyright". Donc c'est la bonne jaquette pour la bonne cassette. Il faut croire qu'en 1998, EMI OctoArts faisait imprimer ses jaquettes en Malaisie. Mais au fait qui est OctoArts ? Cette société basée aux Philippines existe depuis 1978. Ses produits étaient distribués par Dyna Records (ce nom figure sur mes autres cassettes de ce pays) jusqu'en 1995. C'est là qu'elle devient OctoArts EMI, et publie donc cette cassette.

Mais l'histoire ne s'arrête pas là car en 2002 elle devient EMI Philippine.

A suivre...

Format: LP

Titre: Seventh son of a seventh son

Année : 1988

Pays: Europe

Bon c'est moins rutilant et "bandant" qu'un Virtual XI. Surtout que c'est un banal tirage Europe de 1988.

Néanmoins il existe et mérite qu'on s'y attarde un peu. C'est donc un tirage Europe qui possède la même pochette que les tirages Français et probablement Hollandais (je ne l'ai pas mais je pense que oui, ce serait logique).  Si vous avez lu mon récent article sur la datation des tirages pré-1990, la mention figurant sur le dos de la pochette est: Printed in Holland by EMI services Benelux BV Uden. Donc c'est bien un tirage initial de 1988.

Par contre, et c'est logique, le label de la face B est différent. Les principaux changements par rapport à un tirage Français sont la référence, qui est complète (064-7902581), et les logos des droits (Gema/stemra au lieu de Sacem ou Biem-Sacem-SDRM).

Promis, d'ici la fin de l'année (!) vous aurez aussi les labels sur les pages titres.

Un an après Les fils du métal, le groupe publie son second album Trop fou pour toi. Passant d'un hard typé 80 à un hard plus orienté radio, ce second album est fraichement accueilli. Il suffit d'écouter le titre éponyme pour percevoir le côté presque pop de la production.

Personnellement mon album préféré est le 3, bigrement technique (wounded-knee 73) et plus heavy (commando suicide). Après une longue gestation Renaud Hantson sort un CD live en 2005, puis un CD studio en 2008. Il existe encore et Hantson explore divers thèmes dans ses récentes réalisation (le sexe, les addictions, etc) où tout n'est pas forcément génial mais sincère et parfois sympa.

Format: LP

Titre: Virtual XI

Année : 1998

Pays: Europe

J'ai acheté ce double album sur ebay en décembre 2014. Comme on n'en voit pas souvent j'ai cassé ma tirelire !

Mon exemplaire vient d'Italie (vous pouvez voir un sticker SIAE sur la face arrière) mais est bien un tirage Europe car il n'existe pas de tirage Made in Italy. Néanmoins c'est aussi un moyen de s'assurer que cet exemplaire est réel et non un fake. Je vous avais déjà parlé, lors de mon achat du X Factor, d'un sticker doré PM 262 collé dessus. Un petit détail anodin mais qui peut avoir parfois son importance pour se rassurer.

Si vous avez parcouru les pages de mon blog vous avez probablement noté l'absence des vinyls sur les pages titres. Un peu de patience, cela va venir. Une fois tous les CD et cassettes postés, ce sera le tour des vinyls avec tous les labels et les détails (ceux de ma collection, bien entendu).

Celui-là je l'ai trouvé à Paris, dans une boutique spécialisée. Comme le prix était sympa aussi j'ai sauté sur l'occasion. Et j'en ai même prix un second que je vous montre demain.

Je me suis fait un devoir de posséder la discographie de Satan jokers et assez bizarrement, à ce jour, je ne possédais que le mini LP de 1985. Les fils du métal est le premier album (1983) de ce groupe que tout amateur de métal Français se doit de connaitre. Après il y a le batteur (et futur chanteur), Renaud Hantson, que l'on aime ou déteste. Moi je le vénère !

A noter que les premiers exemplaires comportait un patch, un peu comme pour copier le number of the beast...

Format: Cassette

Titre: Seventh son of a seventh son

Année : 1988

Pays: Europe

Aujourd'hui je vous fais un cadeau. Régulièrement je vous ai donné des trucs pour identifier vos tirages. Je me dois de partager avec vous ces astuces car la communauté des fans doit en bénéficier et de plus, comme dans mes pages je donne des dates, je dois prouver ce que je dis.

Mine de rien la cassette ci-dessus nous permet de distinguer les tirages pré 1990 et post 1990. Je vous en ai déjà parlé, sans révéler l'indice. Intéressons nous donc à la cassette ci-dessus.

Il s'agit d'un tirage Europe de Seventh son of a seventh son. Sa référence est 264 7 90258 4. Elle est transparente et porte le logo XDR et la mention Made in EEC. Je possédais déjà la même cassette, Made in EEC, mais référencée 7902584. J'indique sur la page titre et sur mon argus que cette seconde cassette date de 1990. J'affirme que celle présentée ci-dessus date, elle, de 1988. Pourquoi ?

Il faut s'intéresser à la jaquette pour trouver le détail que j'ai remarqué il y a plusieurs mois déjà: Au dos il y a une mention différente en fonction des tirages: "Marketed, manufactured and distributed by EMI. Printed in Holland by EMI Services Benelux B.V. Uden." pour celle de 1988, et "Marketed, manufactured and distributed by EMI" pour celle de 1990. Voici les scans:

1988

1990

D'accord, il y a bien une différence et donc ce sont bien deux tirages distincts. Mais pourquoi 1990 pour la seconde ? Pour répondre il faut s'intéresser à deux choses: l'histoire d'EMI et regarder les tirages que l'on possède. L'histoire d'EMI est jonchée de changement de nom, de ventes et de rachats. Le dernier, et pas des moindres, a été son absorption par Warner. Mais en 1990 il se produit un évènement: L'usine d'Uden ne réalise plus les vinyl et les cassettes, mais se transforme afin de dupliquer les CD, le support de l'avenir. Dès lors la mention Uden disparait des jaquettes et pochettes.  D'ailleurs il suffit d'observer vos tirages postérieurs à 1990 pour le confirmer:

Jaquette de No prayer for the dying - EEC - 1990

Jaquette de No prayer for the dying - Holland - 1990

Et bien entendu cela fonctionne avec les anciens:

Jaquette de Killers - EEC - 1981 (Uden a été ouvert en 1978)

Jaquette de Killers - Holland - 1990

Cette série de réédition de 1990 a été bref, puisque dès 1992, puis 1993, cela change encore (on voit apparaître le cartouche contenant le code barre). Néanmoins cette astuce permet d'identifier vos tirages cassettes et vinyls (cela marche aussi): Tout ce que contient Uden est pré-1990. Cela fonctionne avec les produits fabriqués en Hollande et destinés au marché local: Allemagne, EEC, France et Hollande. Reste ensuite a affiner la date grâce à d'autres éléments. Mais cela est une autre histoire.

J'espère que ce long article contribuera à votre connaissance sur ce passionnant sujet.

Il est temps de vous communiquer quelques infos sur la vie de mon blog.

Après 3 mois d'existence je suis pleinement satisfait du contenu et du résultat visuel. Les articles me semblent plus lisibles et les pages des titres, qui s'étoffent, permettent de visualiser rapidement tous les produits.

Néanmoins cela reste un blog et non pas un vrai site, donc il se peut que certaines pages mettent du temps a se charger.

Concernant les pages des titres, j'ai renseigné jusqu'à A real dead one pour les cassettes et CD. Les autres vont se remplir progressivement, surtout pour les CD. Après ils restera encore des nouveautés a insérer, mais le plus gros sera fait.

J'ai encore travaillé ma page collection aujourd'hui. Là aussi cela progresse. Pas assez vite mais je ne vis pas que pour mon blog, donc j'y consacre le temps que je peux...

L'argus prend forme aussi, même si là je galère un peu plus car ayant perdu ma base lors du changement de plateforme je suis presque reparti d'une page blanche. Cela a quand même l'intérêt de me faire réaliser des corrections et des ajustements sur les prix. Vous avez sans doute constaté que je n'indique que des multiples de 5€. C'est plus simple et le but est de donner une idée d'une tranche, pas d'un prix réel car celui-ci dépend de tellement de critère qu'il est impossible de donner une côté réaliste.

Voila, j'espère que vous prenez autant de plaisir à lire ces pages que j'en prends à les écrire.

Format: CD

Titre: A real dead one

Année : 2002

Pays: USA

Je pense avoir tout dit hier en présentant A real live one, car les caractéristiques sont identiques.

Comme vous avez noté que le CD était inversé, c'est bien entendu le Disc one du Real live dead one que l'on retrouve ici. A bien y penser, on aurait donc pu l'appeler A real dead live one si on suit la logique de l'écoute ! Mais phonétiquement c'est plus compliqué à dire.

Cet album de Scorpions a toujours trouvé dans le même Easy cash. Taken by force n'est pas forcément le plus connu, surtout de la génération Love at first sting. Mais c'est celui des débuts de Herman Rarebell et le dernier en studio pour Ulrich Roth (il quittera le groupe après Tokyo tapes, même s'il a rejoué avec depuis). Il contient plusieurs pépites comme We'll burn the sky, Steamrock fever ou He's a woman, she's a man. A noter que la pochette a été censurée (tout comme Virgin killer) et que l'on comprend mieux le sens du titre en voyant le visuel.

Format: CD

Titre: A real live one

Année : 2002

Pays: USA

Ce CD tombe a pic car hier j'ai posté tous les CD de ce titre sur la page.

C'est de nouveau un tirage Américain de 2002 par Columbia Sanctuary Metal is records. On dit 2002 bien qu'aucune date imprimée dessus ne le confirme, mais c'est l'insert Rock in Rio qui fait foi. En effet cet insert annonce la sortie de ce live, et donc cela semble logique.

Mais la particularité de ce tirage est qu'en fait il contient le CD2 du Real live dead one de 1998. C'est marqué dessus: C2K 86219 Disc two. Ce n'est pas une erreur, j'ai vérifié sur mon exemplaire de A real live dead one.